En France il faut qu'on gagne ou qu'on perdre vraiment pour que la fête soit belle. Là on a eu tout ce que tout le monde voulait, pas eu eu de dentelle : la belle honte des français vont réjouir, ceux qui pense que tout incombe à notre merveilleux sélectionneur.
Sauf qu'on a bien vu que ces matchs ne se gagnent pas au choix tactique, ces matchs où un choix du sélectionneur fait la différence. Réussite, courage, manque de risque voir même insouciance ont manqué aux joueurs qui même avec cette composition auraient du prendre plus d'1 pt contre ces équipes. Le football change, mais l'équipe de France avec Domenech se sont reposés sur une formule qui a fait son temps et qui ne peut marcher sans leader. Et les leader de nos jours il n'y en a plus, dans aucune équipe au monde. Il n'y a plus aucun respect (global) et de collectif. Quand en Espagne le passeur décisive est plus primé que le buteur en lui même, on s'efforce à être celui là . Quand en Italie on veut être le plus guerrier ou le plus roublard, on est prêt à être ridicule sur le terrain pour y arriver. Les instincts des joueurs sont condamnés. La main d'Henry pourtant si courante sont médiatisés jusqu'au Madagascar et décourage tout. Détruit dans son propre pays alors qu'il joue uniquement pour lui. (et oui il ne gagne rien en équipe de France)
Lors matchs de routines, nous voyons le naturel mais des qu'il s'agit de grand enjeux, tout le monde suit le rôle qu'on leur donne. Brave parisiens, qui ont sifflé pendant 4 ans l'équipe de France et donc une génération quand même assez belle pour passer ce premier tour, doivent se sentir autant responsable que Domenech. Pas autant que les joueurs qui ont reflété ce qu'on voulait d'eux : des victimes de Raymond. Tous les joueurs seront blanchis derrière lui, et les résultats donneront forcement raison aux journalistes manipulateurs d'opinion.
Maintenant j'attends la prochaine génération qui fera mieux que celle-ci et elle est pas prêt d'être là . J'attends pas que les français pensent par eux même tellement ils sont manipulé par ce qu'il entende et n'ont plus de libre arbitre. Critiquer sans barrière et mettre en avant le mal, car tout est mauvais quand quelque chose ne va pas. Se réjouir de la défaite car il n'y a pas pas d'unité ailleurs que dans le profit commun. Le centralisme parisien, égoïsme, nombrilisme et ultra capitalisme, quand il est plus simple de s'occuper de son restaurant que défendre son pays. Quand il est plus facile de détruire que de construire. Pour avoir entendu des conversations de téléphone d'espoirs français dans des trains, on s'attarde plus au sélection espoir, titulaire cfa, equipe -20 france etc. Aux performance individuels qui vont influer sur des salaires importants, sur leur l'avenir monétaire et plus du tout au plaisir de jouer au football. Ce que les joueurs de pays plus modeste qui eux, ont la niaque et l'envie de prouver au monde entier qu'ils sont bons. Eux, n'estime avoir rien à prouver, il font leur job et se casse. Le mal du fric, tout comme toutes les drogues touchent de plus en plus to, des joueurs qui ont un énorme potentiel mais qui vie avec leur temps...
Un grand gâchi qui n'est pas prêt d'être fini.
Grand hommage à Henry, meilleur buteur de l'équipe de France et sera surement jamais battu de notre vivant. La génération 98 n'existe définitivement plus après cette coupe du monde et la prochaine génération gagnante n'est pas prêt de naître.
Je souhaite à tout le monde d'être compétant dans leur travail, et j'espère qu'on vous pourrira bien quand vous ferez une faute, histoire que vous comprenez un peu l'intérêt de l'indulgence.